Sylvia Transgenre Glamour

Délires de la maladie ou cogitations de convalescence?


C'est vrai que des heures passées au lit en attente de guérison, ça permet de réfléchir  à des tas de choses ...

Et puis quelque contrariété mal venue  ... voilà que celà donne de la maturité aux sujets de méditation !


Mais avant tout déballage de mes états d'âme, dire que depuis le dernier article, ben ça va mieux!
Oui presque guérie, morts les vilains microbes !


Pour preuve ces photos de mes premières sorties

En date des 23 et 24 juillet ...







L'occasion d'etrenner cette robe d'été








En fin de journée les couleurs sont chaudes









J'ai pas dit que le soir ...








j'étais chaude ! ...







Mais même asthéniée, l'envie de rebondir est forte .




Ha oui !  là je fais remarquer une chose: j'ai quand même pas mal maigri !
je voulais perdre du poids ça tombe bien, dommage qu'il faille tomber malade pour arriver à ce résultat !











Et ma tronche en  gros plan !

sous ces angles je trouve pas que j'ai trop besoin de marteau-piqueur, mais sous d'autres ... j'y pense tous les jours ! snif !

Je suis une adepte du "french touch", et ça marche ... vous trouvez pas non? 








Bon ... à présent, on va revenir à des considérations un peu plus cérébrales ....

Au départ ... j'étais ...        Grosse fatigue !!! 
Et puis    ...  c'est devenu   Grosse fatigue !!! Grosse déprime !!!

Ce qui m'a donné envie de rédiger ces quelques réflexions sur les relations, l'amitié, etc ...


Commençons par un sentiment sur ce que je crois de l'amitié ...


Un ami c'est pas seulement quand on peut compter sur lui quand on a besoin de lui ...
mais c'est aussi être là pour lui quand il peut avoir besoin de moi.

Un ami qui ne te demande jamais rien, je doute qu'il ne te référence vraiment dans ses bons amis (même s'il le dit ! ).

Ne rien devoir à personne, c'est la prétention d'être unique et autosuffisant, et c'est le meilleur moyen de n'avoir aucun ami.

Et puis pour finir, une pensée sur le prisme déformant de nos rêveries innocentes ! rêveries naïves s'il en est ...

Je vais évoquer ici l'échelle de valeur de la considération qu'une personne a pour une autre:

On se croit des fois en haut dans l'estime ... alors qu'on est plutôt en bas ... allez!  dans le milieu-bas va !  ça suffira ! c'est déja assez frustrant!

He oui!  on se croyait dans le cercle des élus ... et puis on ne compte que pour un élément de la fourmillière d'en dessous ! n'être qu'un détail quoi ! dur ça !!

une attitude, des réflexions, des attentions qui ne viennent pas etc ... des tas de signes implicites ou explicites qui ne manquent pas ... et ça devient la certitude  ! ... de ne faire partie que de la fourmillière!

Dur ! très dur ça ! ça peut faire très très mal ! ça déchire !  ... mais quand on a pleuré un bon coup, le lendemain on se réveille d'un bon pied avec une évidence   ... 
l'air d'avoir appris  au  moins quelque chose: "bon ok! maintenant j'ai compris, je sais!"  je suis là!  pas là-haut, mais ici là en bas!

Bon et puis voilà! on a fait le constat....

Ensuite,  on se sent léger d'en  accepter la sentence et de se sentir utile aussi pour tous les autres qui  ... ben oui on ny pensait plus  !!!
mais tous les autres qui vous aiment !  ils sont là aussi et leur affection , et même plus:  la somme de leur affection, ça érige très haut les égards qu'on avait vu flétrir un instant ! c'est pas pour se consoler, c'est pour se rappeller que nous sommes entourés, et qu'il ne faut pas regarder que dans une seule direction....

Un peu philosophique tout ça? non même pas, des expériences vécues qui font réfléchir et puis c'est tout!